Back to the Baking : le tour du monde en 80 puff | Dans les Nuages

BACK TO THE BAKING : LE TOUR DU MONDE EN 80 BOUFFÉES

BACK TO THE BAKING :                   LE TOUR DU MONDE                     EN 80 BOUFFÉES

Un flacon scintille dans l’ombre, verre tiède comme une main qu’on serre.
Une vapeur s’élève, légère, comme un souffle qui raconte des terres lointaines.

En 2025, la vape française n’est pas un commerce – c’est un carnet de voyage.
Les puffs jetables, balayés par une loi de février, ne sont plus qu’un écho dans les ruelles, remplacés par des flacons de 100 ml qui portent des continents entiers.

Vape Institut dresse un campement avec Back to the Baking,
neuf e-liquides qui ne singent pas des desserts.
Ce sont des escales sucrées, des cuisines qu’on improvise sur la route, des plats qu’on partage avec des souvenirs qu’on croyait perdus.


Yuzzen Juice Maker a marché loin – marchés d’Isan, cafés viennois, bayous louisianais – pour ramener une mangue qui éclate, un flan qui tremble, une pistache qui murmure des poèmes.

Pourquoi vaper une tarte ou un cannoli ?
Parce que dans ce nuage éphémère, il y a des siècles, des exils, des rires qu’on rallume.

Prenez votre coil, soufflez doucement.
La route commence.

LES ESCALES DU GOÛT

Neuf flacons, neuf arrêts sur des chemins qu’on n’a pas toujours parcourus.
Ce ne sont pas des jus qu’on jette dans un tank pour faire des ronds.
Ce sont des tables qu’on dresse, des histoires qu’on goûte, des mémoires qu’on caresse.

Chaque saveur est une escale – un marché qui bruit, une fenêtre qui s’ouvre, une voix qu’on reconnaît.
Et comme tout voyage, ça demande du soin : un wattage juste, un steep patient, un coil qui sait écouter.

Ces saveurs, bien que distinctes, tissent des ponts invisibles : la mangue thaïe et la pistache sicilienne partagent une chaleur solaire, un éclat fruité qui chante l’été ; le flan louisianais et le strudel viennois, eux, portent la mémoire d’épices voyageuses, d’échanges anciens entre continents.

Pourtant, chacune garde sa langue – l’une murmure la mer, l’autre la forêt. C’est là leur force : elles se parlent, se répondent, mais ne se fondent jamais.

RIZ COCO MANGUE

Riz Coco Mangue vous pose sur un marché d’Isan, nord-est de la Thaïlande, où les manguiers plient sous un ciel d’avril.
Le riz gluant colle aux doigts, doux comme une berceuse oubliée ; la coco coule, chaude, comme une vague qui vous enlace ; la mangue éclate, vive, comme un soleil qu’on croque.
Ce khao niao mamuang n’est pas un dessert – c’est un poème des terres inondées, né des femmes qui pilaient le riz sous des toits brûlants, des jonques qui glissaient vers l’Inde au XVIIe siècle, des marchands qui troquaient des épices contre des rêves.
Sur un dripper à 0.5 ohm, 30 watts, après une semaine de steep, c’est une plage où l’on s’assoit, un feu qu’on attise sous les étoiles.
Trop pressé, et le riz s’effrite ; trop fort, et la coco se tait.

Cette escale veut qu’on ralentisse, qu’on tende l’oreille à un fleuve qu’on n’a jamais vu.
Comme le Cannoli Pistache
, elle célèbre la douceur née du soleil, mais là où la Sicile enroule ses fruits dans une pâte, l’Isan les offre nus, crus, vibrants.

APPLE STRUDEL


Apple Strudel ouvre une porte sur Vienne, un café où les journaux craquent comme la pâte feuilletée.
Pommes acidulées, cannelle qui râpe la gorge, beurre qui fond comme un vieux vinyle qu’on pose avec soin.
Ce strudel, consigné en 1696 dans un manuscrit jauni, n’est pas juste autrichien. Sa pâte, fine comme un voile, vient des tentes ottomanes, étirée par des mains qui cuisinaient sous les étoiles d’Anatolie.
La cannelle, payée en or, a voyagé de Ceylan, porté par des caravanes qui sentaient la guerre et l’ambre.
À 25 watts, sur un clearo humble, c’est un empire qu’on goûte, une valse qu’on danse dans un coin de cœur.
Un coil encrassé, et la pâte s’alourdit ; un wattage trop haut, et la cannelle s’évanouit.

Cette escale demande du respect, comme une lettre qu’on plie avant de partir.
Son épice, cousine de celle du Karot Cake
, relie Vienne aux routes américaines, mais le strudel s’habille de beurre là où le gâteau préfère la terre.

DONUT FRAMBOISE

Donut Framboise clignote comme un néon dans un diner, quelque part entre une autoroute et une playlist lo-fi.
La pâte enrobe, moelleuse, comme un pull qu’on enfile un dimanche ; la framboise pique, fraîche, comme un filtre Snapchat qu’on boucle en riant.
Ce donut n’est pas un beignet – il vient des “olykoeks” néerlandais, frits dans des cabanes de bois au XVIIe siècle par des colons qui cherchaient un goût de maison.
La framboise, elle, murmure l’Europe, les bocaux qu’on fermait sous des ciels d’orage.
À 35 watts sur un pod tout simple, c’est une série qu’on binge jusqu’à l’aube, un Polaroid qu’on glisse dans un carnet.
Il pardonne les erreurs, mais brille sur un coil frais, comme un refrain qu’on attrape au vol.

C’est une escale transatlantique, un plat qui a pris le bateau, dansé sous les néons des années 50 quand Elvis faisait vibrer les juke-box.
Sa légèreté fruitée fait écho au Cheesecake Cassis-Myrtille
, mais le donut court plus vite, insouciant, là où le cheesecake s’attarde en fête.

KAROT CAKE

Karot Cake s’arrête sur une route poussiéreuse, Amérique des années 30, où le sucre était un luxe et l’espoir une recette.
Carottes râpées, qui pleurent leur douceur ; cannelle, muscade, gingembre, qui drapent la faim d’un châle d’épices ; glaçage au fromage, qui apaise comme une main qu’on serre fort. 
Ce gâteau, né pendant la Grande Dépression, raconte les cuisines où l’on comptait les grains, où les carottes sauvaient les assiettes, donnaient du doux là où il n’y avait rien.
Deux semaines de steep, un reconstructible à 0.3 ohm, 40 watts, et c’est un feu qui crépite dans une maison sans lumière.
Trop vite, et il boude ; trop fort, et il cogne.

Cette escale demande qu’on écoute, qu’on honore ceux qui ont tenu bon.
Sa trame épicée, partagée avec le Flan Caramel Pécan
, parle de résilience, mais le cake creuse la terre quand le flan regarde le ciel.

RED VELVET CAKE

Red Velvet Cake glisse dans la nuit, rouge comme un secret qu’on murmure sous les chênes du Sud.
Cacao timide, qui chuchote à peine ; crème lisse, qui caresse ; vinaigre, qui pince comme une vérité qu’on avoue à mi-voix. 
Ce gâteau, né dans les cuisines où l’on chantait pour tenir, doit sa couleur à une vieille chimie – cacao brut et babeurre acide, un éclat que les colorants ont figé dans les années 40, quand l’Amérique cherchait des fêtes malgré la guerre.
C’est un plat de dimanches où l’on mettait une robe pour oublier la poussière, où l’on dansait pour défier le gris.
À 35 watts, coil propre, c’est un roman qu’on lit à la lueur d’une lampe, une lumière qu’on suit dans le noir.
Trop fort, et le cacao s’efface ; trop faible, et la crème s’ennuie.


Cette escale veut qu’on s’attarde, qu’on écoute le Sud respirer.
Sa douceur crémeuse, proche du Tiramisu
, chante l’espoir, mais le velvet ose l’acide là où l’Italie préfère l’amer.

FLAN CARAMEL PECAN

Flan Caramel Pécan vous pose dans une cuisine créole, Louisiane où les langues s’entrelacent – français, espagnol, africain, amérindien.
Vanille qui tremble, comme une voix qu’on retient ; caramel qui colle, lourd comme un soir d’orage ; noix de pécan qui croquent, fières comme les arbres du bayou. 
Ce flan, né des plantations où le sucre était roi, porte les cicatrices des terres où l’on a mêlé des mondes.
Chaque cuillère – chaque nuage – chante les femmes qui remuaient des marmites, qui faisaient danser le caramel pour cacher les larmes.
À 0.8 ohm, 30 watts, c’est une assiette qu’on sert chaud, un souvenir qu’on embrasse.
Un coil mal réglé, et le caramel brûle.


Cette escale demande qu’on aime, qu’on attende, qu’on se souvienne.
Son caramel, frère de celui du Riz Coco Mangue
, lie les continents, mais la pécan ancre la Louisiane, là où la coco s’envole vers l’Asie.

CHEESE CAKE CASSIS MYRTILLE

Cheesecake Cassis-Myrtille éclate comme une fête qu’on n’a pas prévue. Baies qui claquent, acides, comme un rire dans le silence ; fromage qui fond, rond, comme une étreinte ; biscuit qui croustille, solide, comme un plancher qu’on foule en dansant.
Ce plat voyage – Grèce antique, où l’on servait des gâteaux aux athlètes olympiques ; Europe de l’Est, où la crème prenait le froid ; New York, où le cream cheese a récrit l’histoire. Les baies, cueillies sous la pluie nordique, parlent de forêts où l’on marchait courbé.
À 40 watts, sur un sub-ohm, c’est un feu d’artifice, un dessert qu’on dévore les yeux fermés.
Trop timide, et les baies se perdent ; trop fort, et le biscuit s’efface.


Cette escale dit : vis, même si c’est en désordre.
Ses baies, cousines de la framboise du Donut
, dansent la joie, mais le cheesecake bâtit un socle, là où le donut s’envole.

TIRAMISU

Tiramisu s’assoit avec vous, sur une terrasse vénitienne où le soleil cogne.
Café amer, qui réveille comme un cri ; mascarpone doux, qui apaise comme une caresse ; cacao qui s’attarde, comme une lettre qu’on n’a pas fini de lire.
Né dans les années 60 en Vénétie, ce dessert n’est pas vieux, mais il porte l’Italie entière – les trattorias où l’on riait fort, les tables où l’on parlait d’amour.
Son nom, “tire-moi vers le haut”, est une promesse qu’on vape à 0.6 ohm, après sept jours de steep.
Moins, et le café cogne ; plus, et le cacao s’éteint.

Cette escale demande qu’on prenne son temps, qu’on laisse le soleil descendre.
Son cacao, écho discret du Red Velvet
, appelle la mémoire, mais le tiramisu choisit la lumière, là où le velvet préfère l’ombre.

CANNOLI PISTACHE

Cannoli Pistache entre en silence, Sicile qui se donne à ceux qui savent attendre.
Pâte frite, dorée, qui craque comme un poème ; ricotta soyeuse, qui glisse ; pistache, verte, qui chante des vers arabes sous un ciel du IXe siècle.
Ce cannoli, né des conquêtes, porte Palerme – marchés où l’on criait, voiles qui claquaient au vent, femmes qui pétrissaient des rêves dans la farine.
À 0.6 ohm, 35 watts, après dix jours de steep, c’est une assiette qu’on pose avec soin, comme un bijou qu’on effleure.
Un faux pas, et la pistache se cache ; un bon coil, et elle vous fixe dans les yeux.

Cette escale veut qu’on marche doucement, qu’on écoute la mer.
Sa pistache, sœur de la mangue du Riz Coco Mangue
, parle de terres ensoleillées, mais le cannoli s’enroule dans l’histoire, là où l’Isan reste libre.


Ces flacons, en 50/50 PG/VG, ne jouent pas les faciles.
Ils veulent un feu précis – 25 à 45 watts, 0.3 à 0.8 ohm.
Parfois des semaines de patience.
Ce sont des cuisines nomades, pas des snacks.
Chaque bouffée est une cuillère qu’on porte à la bouche,
un souvenir qu’on rallume, une route qu’on retrace avant qu’elle s’efface.

LES MAINS SUR LA ROUTE

Vape Institut n’est pas une usine – c’est un campement, un feu qu’on allume là où l’on s’arrête.
Depuis 2015, ils voyagent, tissant des arômes sans diacétyle ni cochonneries, dans des labos aux normes TPD, AFNOR.

Yuzzen Juice Maker n’est pas un chef – c’est un passeur, un conteur qui ramène des plats qu’on croyait égarés.

Chaque flacon est fragile : Karot Cake boude sans steep, Riz Coco Mangue s’éteint si le wattage vacille.
Sur Forum-ecigarette.com, les récits fusent : Apple Strudel fait chavirer, Cannoli Pistache divise, trop subtil pour les langues pressées.
Ce n'est pas une vape qu’on aspire d’un trait. C’est une cuisine qu’on apprend, un feu qu’on garde allumé, comme un secret qu’on murmure sous les étoiles.

UNE CARTE EN 2025

2025 n’est pas une année douce. Les puffs sont partis, laissant les vapoteurs face à des flacons qui demandent des gestes, du cœur.
Les gourmands tiennent la barre – 60 % des choix, murmurent les boutiques,
les réseaux –, mais des taxes européennes pointent, prêtes à souffler les braises.

Dans ce monde qui court, Back to the Baking n’est pas là pour sprinter.
C’est une escale pour ceux qui savent poser leur sac.
Une mangue qui ramène une plage qu’on n’a pas vue.
Un flan qui fait entendre une voix qu’on n’a plus touchée.

Sur X, des bribes jaillissent – “Tiramisu, c’est ma nonna dans un nuage”, “Donut, c’est mes seize ans sur un écran” –, mais le silence dit plus : c’est une cuisine qu’on savoure seul, dans un coin d’âme, loin des écrans qui crient.

DES PONTS ENTRE LES MONDES

Ces neuf saveurs, bien qu 'ancrées dans leurs terres, se tendent la main par-delà les océans.
Le Riz Coco Mangue et le Flan Caramel Pécan partagent un caramel qui coule, une douceur née du sucre brûlé, mais l’un s’élève vers les tropiques, l’autre s’enracine dans le bayou.
Le Tiramisu et le Red Velvet murmurent des crèmes apaisantes, des mémoires de tables dressées pour oublier le gris, pourtant l’Italie rit fort là où le Sud américain se confesse.
Les épices du Karot Cake et de l’Apple Strudel dansent sur les mêmes routes anciennes, celles des caravanes qui portaient la cannelle de l’Inde à l’Europe, mais l’un creuse la faim, l’autre caresse le luxe.
Le Donut Framboise et le Cheesecake Cassis-Myrtille jouent avec des baies qui pétillent, des éclats de joie, mais le premier fuit vers la liberté, le second s’attarde dans l’histoire.
Enfin, Cannoli Pistache, comme Riz Coco Mangue, célèbre les fruits secs et les soleils, mais la Sicile enferme son trésor dans une pâte, quand la Thaïlande l’offre à la brise.

Ces dialogues – ces différences – font de Back to the Baking un atlas gustatif, où chaque flacon est une île, unique, mais jamais seule.

POP CULTURE, UNE ROUTE SANS FIN

La pop culture, c’est une carte qu’on déplie sans cesse.
Un bol de céréales qu’on mange devant une série, une playlist qu’on lance pour retrouver un été, un filtre TikTok qu’on teste pour sourire.
Back to the Baking s’arrête là, mais pas pour servir du réchauffé.
Riz Coco Mangue n’est pas un dessert : c’est une plage qu’on sent dans les os, un générique qu’on rejoue les yeux fermés.
Cannoli Pistache n’est pas un cannoli : c’est une ruelle sicilienne qu’on filme en noir et blanc, un poème qu’on scande comme une story.
Red Velvet n’est pas un gâteau : c’est une lumière rouge qu’on suit, un clip qu’on boucle sur YouTube, une vibe qu’on attrape comme un like.

Ces saveurs ne vous tiennent pas longtemps.
Elles passent, légères, comme une chanson qu’on shazame dans un café, comme un reel qu’on regarde jusqu’à ce que l’écran s’éteigne.

La vape, ici, n’est pas un gadget. C’est une escale qu’on habite – un marché thaï, une trattoria italienne, une maison créole.
Chaque coil chauffé juste bien, chaque steep patient, c’est une façon de dire :
je suis là, je voyage encore, je raconte.

UNE CUISINE FRAGILE

Vaper Back to the Baking, c’est dresser une table sur une route qui tremble.
Ces flacons ne donnent pas tout d’un coup. Tiramisu murmure trop bas sans sept jours ; Cheesecake cogne si le wattage s’emballe.
Mais c’est ça, voyager. Ça rate, ça vacille, ça recommence.

Chaque bouffée est une cuillère – un café italien, une pistache d’hier, une carotte qu’on a râpée sous la pluie.
Vape Institut ne donne pas des goûts : ils prêtent des routes, où l’on ramène une plage, une grand-mère, un été.

2025 file, avec ses lois qui serrent, ses écrans qui mangent le silence, ses jours qu’on oublie de compter.
Back to the Baking n’arrête pas le temps.

Elle pose une assiette, un instant, pour goûter ce qui manque.
Un nuage, c’est rien – un souffle, et il s’en va.
Mais quand il passe, il laisse une mangue qui pique, un flan qui chauffe, une histoire qu’on n’a pas fini de raconter.

Et vous, c’est où, votre prochaine escale ?

⚠️ Le vapotage est une aide au sevrage tabagique. 
Ne vapotez pas si vous ne fumez pas.
Le Vapotage est une Transition vers une Vie Sans Tabac puis Sans Dépendance à la Nicotine.

LA PLAYLIST BACK TO THE BAKING À VAPER