TEST "LES COLLÈGUES" (LIQUIDAROM) – EXTRABALL

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"Cinq potes, cinq desserts, une partie qui ne finit jamais ."

Les Collègues. Un mot qui traîne dans la mémoire collective depuis les cours de récré des années 80. L'époque où Renaud chantait ses potes de Paname, où Trust balançait « Antisocial », où les premiers jeans slim débarquaient dans les bahuts avec les baskets montantes. Les collègues, c'était la bande, la tribu, ceux avec qui on partageait les récrés et les galères. Une fraternité post-68 qui refusait les codes bourgeois et cultivait l'amitié vraie.

En 2025, le mot sonne presque vintage. Quand Liquidarom baptise sa nouvelle gamme « Les Collègues », on tilte : cinq desserts transformés en personnages cartoons, cinq « potes » gourmands qui réveillent la nostalgie des vraies amitiés. On ne vape plus des références : on adopte des collègues.

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LIQUIDAROM,
LA RIGUEUR QUI MISE SUR L'ÉMOTION

Depuis Brignoles (Var), Liquidarom Distribution produit des e-liquides depuis 2015 sur cinq lignes certifiées BPF. Approvisionnement agroalimentaire, bases pharma, traçabilité lisible : standards industriels assumés, zéro flou.

Sur les étiquettes : transparence totale - molécules aromatiques (Furaneol pour le caramel grillé, Pipéronal pour la vanille), numéros de lot, étiquetage multilingue, conformité européenne. Des standards « pharma » appliqués sans compromis.

Liquidarom a construit un portfolio diversifié - gamme classique, collections fruitées, lignes premium comme Black Edition et High Creek - pour toucher tous les profils de vapoteurs. Avec Les Collègues, ils changent de registre et jouent la carte nostalgie partagée : transformer la vape en moment de bande, retrouver cette complicité perdue des vraies amitiés.

Le timing est parfait. En 2025, les liquides gourmands trustent les podiums : 35 millions de flacons vendus en France l'an dernier, des références comme La Chose dans tous les tops. Le vapoteur ne cherche plus juste du sucré, mais de la profondeur, des desserts qui racontent.

Liquidarom l'a compris : cette bande de personnages porte des recettes réconfortantes - barre chocolatée, cookie, crème brûlée - qui parlent à trois millions de vapoteurs français. Pari malin autant qu'émotionnel.

NOSTALGIE ASSUMÉE
QUAND "COLLÈGUE" VOULAIT DIRE QUELQUE CHOSE

Retour en 1984. Dans les cours de bahut, « collègue » résonnait différemment. Pas le collègue de bureau qu'on salue poliment - le pote de galère, celui qui partage sa barre chocolatée, qui prête sa cassette, qui traîne avec toi après les cours sans but précis. Cette génération grandie entre punk français naissant (Bérurier Noir, Ludwig von 88) et chanson populaire (Renaud, Téléphone), qui portait des blousons à patchs et écussons sans être des loubards.

C'était l'époque des amitiés déclarées d'une poignée de main et scellées autour d'un paquet de gâteaux partagé. Avant l'individualisme triomphant des 90s, on cultivait encore cette fraternité de bande.

Liquidarom ressuscite cette vibe quarante ans plus tard. Pari audacieux dans une époque qui a oublié le sens du mot « collègue ». Mais terriblement malin : cette nostalgie parle à une génération qui vapote aujourd'hui et cherche du lien.

DESIGN BI-GÉNÉRATIONNEL
QUAND LA RÉCRÉ RENCONTRE TIKTOK

Liquidarom joue finement sur deux registres.
D'un côté, le nom « Les Collègues » accroche les 50+ qui ont vécu cette époque des vraies amitiés de bahut. De l'autre, l'esthétique cartoon kawaii - ces petits personnages aux grands yeux qui sourient sur les étiquettes - parle directement aux 20-30 ans biberonnés aux réseaux sociaux.

Stratégie marketing brillante : papy et son petit-fils peuvent craquer sur les mêmes flacons pour des raisons totalement différentes. L'un y voit ses souvenirs de récré, l'autre des mascottes qu'il a envie de poster en story. Culture de cartable années 80 remixée à l'esprit Instagram - cette fusion improbable fonctionne parce que les deux générations cherchent la même chose : de l'authenticité, du lien, du « fait maison » dans un monde devenu froid.

Les flacons eux-mêmes incarnent cette dualité : verre transparent et bouchons « New Rose » pour les nostalgiques, personnages colorés et typographie ronde pour la génération emoji.
Liquidarom a pigé que la nostalgie se vend mieux quand elle ne dit pas son nom.

LA BANDE DES CINQ
DES DESSERTS, DES PERSONNALITÉS

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Cinq flacons, cinq collègues qui débarquent avec leur caractère et leurs secrets. Chacun porte un dessert réconfortant, mais tous cachent un twist - ce détail qui transforme une recette sage en histoire qu'on retient.

Le ChocoStar incarne la barre chocolatée : caramel, chocolat, cacahuète.
C'est le fiable, celui qui régale toujours la bande, qui sort de quoi partager au bon moment.
Son atout ? Cette cacahuète qui apporte le salé, l'équilibre, le grain qui fait tourner les têtes. Le sucré-salé qui claque dès l'odeur.

Le Flambeur porte son custard vanille caramel avec une assurance de mytho sympathique, celui qui transforme tout en spectacle.
Son argument secret ? Le pop-corn. Dès qu'on ouvre le flacon, impossible de le rater - ce twist qui surgit et transforme un flan sage en soirée cinéma, en cornet qu'on achète avant d'entrer dans la salle obscure.

La Mimi murmure sa crème brûlée vanille. La discrète qu'on ne remarque pas tout de suite mais qu'on oublie jamais, celle qui console sans faire de bruit.
Son jeu ? Ce caramel brûlé qui explose à l'odeur - croûte craquante, sucre passé à la flamme - avant de s'adoucir en vanille câline au palais. L'odeur crie, la bouche murmure. C'est tout son charme.

Le Funkie croque son cookie aux pépites de chocolat avec l'impertinence du rebelle, cheveux dans les yeux et blouson sur les épaules.
Son twist ? La nougatine - cet élément croquant qui attaque direct, qui met du relief, qui transforme un cookie bien élevé en copain turbulent qu'on ne peut pas ignorer.
À l'odeur comme en bouche, elle impose sa présence.

Le Tchatcheur surprend avec son roulé myrtille-cannelle. Celui qui parle sans arrêt mais dit toujours des trucs intéressants, qui occupe l'espace avec bienveillance.
Sa force ? Cette myrtille flamboyante, presque criarde, qui claque dès l'odeur comme les rires qui éclatent dans les cours. Elle ne fait pas semblant, elle remplit l'espace, elle assume.

Cinq profils, cinq recettes avec leur extraball bien placée.
Liquidarom n'a pas réinventé le gourmand - ils ont juste compris qu'un détail fait toute la différence.
Et que l'odeur, souvent négligée, raconte déjà l'histoire avant même la première bouffée.

PROTOCOLE DE TEST 

Tous les liquides ont été vapés dans un Nightmare V2, coil nichrome 0,19 Ω, 50-55 W. Cette gamme demande un steep minimum de 10 jours pour révéler sa complexité - particulièrement La Mimi et Le Funkie, qui gagnent en profondeur avec la patience.

PREMIÈRES RENCONTRES : LE TCHATCHEUR OUVRE LE BAL

Premier contact avec la bande - Le Tchatcheur. Ce roulé myrtille-cannelle débarque comme annoncé : bavard, généreux, tonitruant.

À l'odeur, il ne fait pas semblant : myrtille qui pétille, cannelle qui réchauffe, combo fruit-épice qui promet du spectacle.
C'est le cornet de cinéma qu'on ouvre pendant les bandes-annonces, sucré mais pas sage.

L'attaque frappe direct - myrtille juteuse, éclatante, sans prévenir. Pas de timidité : cette myrtille a du coffre, remplit l'espace comme ce pote payant sa tournée en racontant ses blagues.
Le cœur s'épanouit sur la cannelle, chaude, enrobante - elle transforme l'acidité du fruit en rondeur rassurante.
C'est le bonimenteur bienveillant, celui qui te prend par l'épaule.
Le final confirme : ce roulé assume sa complexité - pâte moelleuse, fruit confit, épice chaleureuse. Le nounours de la bande, celui qui fait du bruit mais console d'un même geste. Le rugbyman bavard mais attachant.

Au dripper, cette personnalité s'amplifie - vapeur dense qui charrie tous les arômes d'un coup. Bavard, intelligent, présent sans être envahissant.
Le coil raconte l'histoire : dépôt caramélisé, cette patine brun-orangé que tous les vapoteurs gourmands connaissent.
Le Tchatcheur est généreux, il laisse des traces. On prévoit ses coils, on nettoie, on accepte le deal.
Cette myrtille cannelle ne fait pas semblant d'être un thé vert. Elle assume.

Premier collègue adopté.

LA MIMI : LA DISCRÈTE QUI MARQUE LES SOUVENIRS

Deuxième rendez-vous avec la bande - La Mimi. On s'attend à de la douceur, on se prépare à la discrétion. Première surprise : elle ne se cache pas.

À l'odeur, La Mimi annonce la couleur - ce fumet de crème brûlée qui sort du flacon, c'est cette croûte caramélisée qu'on casse du bout de la cuillère, le sucre passé à la flamme qui croustille sous la langue.
Cette promesse dorée, légèrement brûlée, qui transforme une crème sage en dessert qu'on se dispute. Pas timide du tout, cette Mimi.
Elle a ce parfum réconfortant des desserts d'après-déjeuner dominical, quand mamie sort le chalumeau.

Mais en bouche, elle change de registre.
L'attaque abandonne le caramel pour laisser place à une vanille qui murmure plutôt qu'elle ne crie. Douce, enveloppante, presque câline - cette vanille-là ne cherche pas à impressionner. Elle se pose délicatement, comme quelqu'un qui s'assoit à côté de toi sans faire de bruit.
Le cœur s'installe dans cette rondeur lactée, crémeuse sans être lourde, sucrée sans être écœurante. C'est la crème avant la croûte, le dessert qu'on mange lentement, à petites cuillères.
Le final tient cette promesse de douceur - la vanille persiste, fine, élégante, jamais agressive. Pas de caramel qui revient en force, pas de sucre qui colle.
Juste cette présence rassurante qui s'étire, comme un dimanche qui refuse de finir.
La Mimi ne claque pas, elle ne tonitrue pas, elle reste. Discrètement, sûrement.

Au dripper, cette personnalité se confirme : vapeur soyeuse, arômes fondus, rien qui dépasse. Le dessert doux comme un flirt, celui qui sourit sans en faire des tonnes, qui console sans grand discours.
La discrète de la bande, celle qu'on ne remarque pas immédiatement dans la cour de récré, mais qu'on oublie jamais une fois qu'on l'a rencontrée.

Deuxième collègue validé, et celui-là, on le garde pour les soirs où on a besoin de tendresse plutôt que de spectacle.

LE FLAMBEUR : LE M'AS-TU-VU QUI ASSUME

Troisième membre de la bande : Le Flambeur. On connaît ce profil : le gros matuvu, celui qui en fait toujours trop pour combler ses lacunes.
Monsieur Plus, celui qui arrive avec les lunettes noires même quand il pleut.

À l'odeur, il balance ses arguments d'entrée : custard vanille caramel comme prévu, mais ce twist qui change tout : pop-corn. Pas le pop-corn discret, non.
Le gros cornet du ciné du samedi soir, celui qu'on achète au comptoir avant d'entrer dans la salle obscure, nappé de caramel qui colle aux doigts.
Le Flambeur sent le cinéma, cette odeur de fauteuils en velours rouge où on hésite entre le salé et le sucré avant de prendre les deux.

En bouche, cette dualité s'installe.
L'attaque est onctueuse, presque gélatineuse. C'est le custard ample, cette texture pas tout à fait solide qui glisse sur la langue. Pas très sexy à première vue, cette ampleur qui tremble.
Puis le cœur craque : le pop-corn caramélisé apporte le croustillant, la tenue, l'argument qui fait basculer la salle.
Le final confirme la stratégie : ce mélange onctueux-craquant, flan-pop-corn, s'étire longuement. Le Flambeur ne lâche rien, il insiste, il reste là.
C'est le mec qui raconte ses histoires incroyables. « Mon père connaît le guitariste de Trust », « j'ai une Suzuki qui m'attend pour mes 18 ans. » Et bizarrement, on l'écoute.
Parce qu'au fond, derrière le m'as-tu-vu, il a du charme. Ce flan pas sexy s'est trouvé des arguments, et ça marche.

Au dripper, le spectacle s'amplifie : vapeur généreuse, profil gourmand à lunettes noires qui assume totalement. Le Flambeur ne fait pas dans la demi-mesure.
C'est le dessert du dimanche qui a enfilé un blouson en cuir pour aller au cinéma. Pas subtil, pas discret, mais attachant quand il a fini de raconter ses salades.

Troisième collègue adopté. Celui qu'on trouve un peu lourd au début, mais qu'on finit par kiffer pour son culot. Excellent liquide pour gros gourmands qui n'ont pas peur d'en faire trop.

LE CHOCOSTAR : LE WINNER DE LA BANDE

Quatrième collègue, Le ChocoStar. On connaît ce profil : le bien nommé, celui à qui tout réussit, celui à qui tout sourit.
Le beau gosse de la bande, le tombeur naturel. À la fois Delon et Belmondo, Eastwood et Bronson - le cogneur et le séducteur réunis.

À l'odeur, il ne laisse aucun doute sur ses ambitions. Cette barre chocolatée légendaire, celle qu'on dévorait dans les cours de récré, celle qui faisait tourner les têtes. Chocolat qui s'annonce franc, cacahuète qui croustille déjà, caramel qui promet.
Le ChocoStar sent le succès, ce parfum sucré-salé qui fait baver les gourmands, cette combinaison gagnante qui fait frémir les autres prétendants au trône.

En bouche, il tient toutes ses promesses.
L'attaque débarque en fanfare : chocolat généreux qui enrobe, cacahuète croquante qui claque. Pas timide pour deux sous, ce ChocoStar. Il a le charisme du type qui entre dans une pièce et que tout le monde regarde.
Le cœur développe le spectacle : caramel fondant qui glisse, cacahuète grillée qui persiste, chocolat qui tient l'ensemble. C'est le dessert des desserts, la gourmandise hors concours.
Le final confirme le statut de star : ce mélange chocolat-cacahuète-caramel s'étire avec classe, sans jamais en faire trop. Le ChocoStar n'a pas besoin de forcer, il a le talent naturel.
C'est le type qui réussit tout, celui qui décroche le job, qui séduit sans effort. Ce n'est pas un dessert : c'est un poster.

Au dripper, c'est un feu d'artifice maîtrisé : vapeur généreuse qui balance tous les arguments en même temps - sucré, salé, craquant, fondant. Le ChocoStar affronte directement les bangers de la bande d'en face, il ne recule devant personne. C'est ma star, avoue-t-on sans honte, celle qu'on vape en se disant qu'on a gagné à la loterie aromatique.

Quatrième collègue adopté - et celui-là, c'est le capitaine d'équipe, le winner, celui qu'on choisit en premier pour la partie.
Excellent liquide pour ceux qui cherchent la perfection gourmande sans compromis.

LE FUNKIE : LE REBELLE QUI CLAQUE

Cinquième rendez-vous avec la bande : Le Funkie. Le blouson sur les épaules, les cheveux dans les yeux : c'est lui qui déboule en retard et met la musique plus fort.

À l'odeur, pas de suspense : cookie chaud qui sort du four, pépites prêtes à fondre, et ce grain de nougatine qui craque déjà au nez. Le sac de pâtisserie entrouvert dans la cour.

L'attaque mord dans la pâte - beurrée, dorée, jamais sèche - puis les pépites montent en puissance.
Le cœur prend sa vitesse de croisière avec la nougatine : éclats sucrés, toastés, qui mettent du relief et un petit côté impertinent.
Le final garde le croquant en bouche : rémanence noisettée, sucre tenu, aucune lourdeur de fond.
Ce n'est pas le cookie XXL qui assomme ; c'est le cookie rock qui te fait hocher la tête.

Au dripper, la vapeur épaissit le riff : la nougatine gagne du terrain, les pépites restent lisibles, la pâte ne s'effondre pas.
All-day possible si l'on aime les gourmands qui ont du grain.

C'est le copain turbulent qui bouscule le cercle, chambre tout le monde et finit par partager le paquet. Sans lui, la bande est sage ; avec lui, elle vit.
Sucré modéré, encrassement raisonnable pour un cookie (rotation de coils conseillée si tu enchaînes). 0,15 Ω — 50–55 W : la nougatine parle, les pépites chantent.

Cinquième collègue adopté et celui-là, c'est le rebelle qu'on garde pour mettre du grain dans les journées trop lisses.

DERRIÈRE LA BANDE DESSINÉE,
IL Y A LA MÉCANIQUE

Format 50 ml shortfill (0 mg, boosters compatibles), ratio 30/70 PG/VG taillé pour les nuages, matériel sub-ohm en 0,15–0,6 Ω autour de 35–60 W : ce sont des recettes qui demandent de l'air et de l'amplitude.
Elles s'expriment mieux après un steep de 10 jours minimum - patience récompensée - et réclament l'entretien qui va avec : édulcorants présents, donc coils à prévoir si l'on enchaîne.

Fabrication 100 % française, arômes alimentaires certifiés, sans diacétyle ni parabène, traçabilité nette et étiquetage multilingue : la transparence n'est pas un slogan, c'est la méthode.

CÔTÉ TICKET D'ENTRÉE

Après l'usage, vient la question du porte-monnaie et des étagères.

19,90 € les 50 ml - positionnement premium accessible qui vise large sans brader.
Face à la concurrence, Les Collègues jouent la carte différenciation par l'émotion plutôt que l'innovation technique.

Disponibilité large mais absence notable d'avis clients détaillés - confirme le caractère récent de cette sortie.
Le prix reste cohérent avec l'exigence Liquidarom : matières premières qualité, production certifiée, packaging soigné, transparence totale sur la composition.

BILAN
LA RECONNEXION AVANT L'INNOVATION

Pour ceux qui préfèrent le lien à la démonstration, l'authenticité à la performance, cette bande de cartoons cache de vraies personnes : un bavard chaleureux, une discrète qui tient la main, un m'as-tu-vu qui fait le show, un rebelle qui met du grain, une star qui fédère.
Les Collègues, c'est moins un concept qu'un réflexe de récré : on ouvre, on partage, on sourit. Et on recommence.

⚠️ Le vapotage est une aide au sevrage tabagique. Ne vapotez pas si vous ne fumez pas. 
Le vapotage est une transition vers une vie sans tabac, puis sans dépendance à la nicotine.


LA PLAY LIST "LES COLLÈGUES"